Protéger LES ANIMAUX

 

Les actions et textes ci-dessous proviennent du livre STOP

Livre STOP

"Nous savons ce que les animaux font, quels sont les besoins du castor, de l'ours, du saumon et des autres créatures, parce que, jadis, les hommes se mariaient avec eux, et qu'ils ont acquis ce savoir de leurs épouses animales... Les Blancs ont vécu peu de temps dans ce pays, et ils ne connaissent pas grand-chose au sujet des animaux ; nous, nous sommes ici depuis des milliers d'années et il y a longtemps que les animaux eux-mêmes nous ont instruits. Les Blancs notent tout dans un livre, pour ne pas oublier ; mais nos ancêtres ont épousé les animaux, et ils ont appris tous leurs usages, et ils ont fait passer ces connaissances de génération en génération"

A propos des Indiens Ojibwa. Jenness D., "The Carrier Indians of Bukley River", bulletin n° 133,

Bureau of American Ethnology.

 

ACTIONS COMMERCIALES

 

Pour protéger les animaux

 

  • Les firmes fabricant et commercialisant des médecines orientales traditionnelles doivent cesser d'utiliser des ingrédients issus d'espèces animales menacées, investir davantage dans la recherche et la mise au point d'alternatives, ou les adopter quand elles existent.
  • Les professionnels de la mode devraient refuser d'utiliser ou de stocker des produits, y compris la fourrure, provenant d'espèces menacées ou impliquant des pratiques cruelles.
  • Les clubs de chasse doivent cesser de proposer des chasses aux espèces menacées ou vulnérables.
  • Les organisateurs de safaris doivent informer leur clientèle de la menace qui pèse sur les animaux.
  • Les groupes de pêche doivent employer du matériel écologiquement durable et des méthodes de pêche traditionnelles comme la palangrotte (qui diminue les prises accessoires).
  • Les éleveurs de poissons et de bétail devraient privilégier les espèces ne se nourrissant pas de poisson.
  • Les restaurateurs devraient s'engager à ne pas servir des espèces de poissons menacées comme le bar chilien, mais uniquement des poissons provenant de pêcheries gérées de manière durable.
  • Les eleveurs devraient pratiquer des méthodes biologiques ou de "libre parcours".
  • Les éleveurs devraient également refuser de signer avec les grands groupes alimentaires ou d'élevage des contrats leur imposant de recourir à des pratiques d'élevage intensives.
  • Mettre fin à la reproduction sélective, à l'emploi d'antibiotiques et d'hormones destinés à accélérer la croissance, et à l'usage de stalles à truies, de box à veaux et de batteries à poulets.
  • Les entreprises devraient cesser de recourir aux tests sur animaux pour mettre au point leurs produits et recourir à des alternatives non animales quand elles existent.
  • Les entreprises devraient renoncer à la modification génétique et au clonage des animaux et mettre au point des alternatives.

 

Le petit écologiste